Tu es le vent, le vent et ses rafales
Qui brûle les joues et fait ployer
Les branches jusqu'à terre comme
Pour saluer ton avancée sur le chemin,
Tu es le souffle de l'été, qui emporte
Loin les oiseaux et les feuilles arrachées,
Celui qui fraîchit les nuits et apaise les coeurs
Balayant d'un coup tous les regrets du passé.