Un rayon luit, chat s'endort les moustaches lisses. Le Soleil fuit. Pluie.
poèmes en représentations, créations poétiques. Venez découvrir mon univers : je cueille l'instant, je cueille l'image, je cueille les mots.
Publié le 31 Octobre 2017 par ml Sab
Un rayon luit, chat s'endort les moustaches lisses. Le Soleil fuit. Pluie.
Publié le 31 Octobre 2017 par ml Sab
Dans la nuit froide et profonde A l'intérieur des maisons les lits froids pleurent et gémissent. Quelques pas feutrés signent l'activité des noctambules affamés. La lune juste formée lance sa lueur d'opaline à travers les branches. Nul rêve , nulle envie....
Publié le 30 Octobre 2017
L'arbre a vécu, il s'affaiblit, déploie ses dernières forces. Ses branches fines et cassantes cherchent encore à sourire A de jeunes pousses qu'il observe à l'envie derrière l'écran de ses désirs. Un sursaut bien illusoire qu'il aime et qu'il nourrit,...
Publié le 27 Octobre 2017
Le miroir ne me renvoie plus la jeunesse Qui pourtant fait chavirer le monde. Agrippé à la reconnaissance, Il part vers la blondeur des pays plats. Je suffoque et le laisse s'orienter vers le nord. je tends la clé qui ouvrira leur univers et refermera...
Publié le 26 Octobre 2017
Au creux du crépuscule elle a frôlé le dupe. Elle a marché des distances inouïes pour comprendre sa vie. Rien ne s'opposait à l'intime et pourtant tout la sépare désormais. Excuses et bredouillements de l'impensable. La mémoire a terni.
Publié le 26 Octobre 2017
L'oeil Nature Un léger frisson Et l'automne est là. L'oeil Nature n'a que Quelques jours à vivre, J'aimerais capter son regard intense et lui dire tous les secrets de la terre endormie. Déjà les feuilles tombent et l'iris se ternit quand la glaise se...
Publié le 26 Octobre 2017
Un jour de Saint-Jean n'est pas un jour.C'est une nuit qui tremble dans le bruitEt les chaleurs de l'été naissant. La rueChaude exhale le bitume et les moteurs. Plus bas des portes claquent et les discussions s'animent. Les rires se mêlent aux cris des...
Publié le 26 Octobre 2017
Le mois est passé et s'en furent à jamais Les pétales fragiles des cœurs oubliés. L'esprit se perd à trop rattraper les quelques Jours où ton visage était en avril dessiné. Sans jamais t'effacer je ne pourrai te bercer Alors je pleure de t'avoir tant...