Le mois est passé et s'en furent à jamais
Les pétales fragiles des cœurs oubliés.
L'esprit se perd à trop rattraper les quelques
Jours où ton visage était en avril dessiné.
Sans jamais t'effacer je ne pourrai te bercer
Alors je pleure de t'avoir tant perdue
Au creux de mes bras le chagrin est né
Et le sérieux de la vie me suit dans ton ombre